12 juillet 2007
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18:35
En attendant de repartir courir aux côtés de Fitz (mais si, souvenez-vous, le hésor de l'Assassin Royal...), je fais quelques infidélités à Robin HOBB pour aller voir du côté de
chez George R.R. MARTIN, et son célèbre Trône de fer.
Près de 500 pages pour ce premier tome d'une saga épique qui nous emporte aux quatre coins d'un vaste royaume, dont les pourtours ne sont pas sans rappeler le Royaume-Uni (la carte fournie en fin d'ouvrage en est la preuve).
Qui dit royaume dit roi, en l'occurrence Robert Barratheon qui, les années passant, a pris du ventre, du menton, et du sale caractère.
Qui dit roi dit trône, le Trône de fer (justement !) ayant été conquis par Robert dans le sang - celui de son prédécesseur, forcément.
Qui dit régicide dit vengeance, et les descendants de feu le précédent roi ruminent la leur dans des terres lointaines.
Qui dit roi dit ami du roi, compagnon d'armes, presque frère, Eddard Stark en l'occurrence, qui aurait bien aimé rester dans ses lointaines terres du Nord, entre le Mur, qui retient les horreurs arctiques loin du royaume, les vastes forêts enneigées et la palais de Winterfell.
Mais une visite du roi - et de sa suite - à la famille Stark va bouleverser la vie de tous les protagonistes, tandis que le destin, la vengeance, et les plans finement et patiemment élaborés se mettent en marche...
Au-delà de l'intrigue, vaste - il faudra sans doute plusieurs tomes pour en venir à bout - et des personnages, complexes, on pourra aussi apprécier le découpage : chaque chapitre s'attache aux pas d'un personnage, tout en suivant la chronologie générale. Donc le temps passe tout le temps (sic), et les points de vue se suivent.
A noter : avant de découvrir les romans, j'avais joué au jeu de plateau, lourde machinerie mettant en scène les luttes entres les principaux seigneurs (Barratheon, Stark, Lannister...). Jeu de plateau lui-même tiré d'un jeu de cartes, si je ne m'abuse...
Et il semblerait qu'une série télévisée soit en préparation.
A quand le jeu vidéo...
Ainsi, quel que soit votre support favori, il vous sera difficile de passer à côté du Trône de Fer...
Champittéraire-ludi
Près de 500 pages pour ce premier tome d'une saga épique qui nous emporte aux quatre coins d'un vaste royaume, dont les pourtours ne sont pas sans rappeler le Royaume-Uni (la carte fournie en fin d'ouvrage en est la preuve).
Qui dit royaume dit roi, en l'occurrence Robert Barratheon qui, les années passant, a pris du ventre, du menton, et du sale caractère.
Qui dit roi dit trône, le Trône de fer (justement !) ayant été conquis par Robert dans le sang - celui de son prédécesseur, forcément.
Qui dit régicide dit vengeance, et les descendants de feu le précédent roi ruminent la leur dans des terres lointaines.
Qui dit roi dit ami du roi, compagnon d'armes, presque frère, Eddard Stark en l'occurrence, qui aurait bien aimé rester dans ses lointaines terres du Nord, entre le Mur, qui retient les horreurs arctiques loin du royaume, les vastes forêts enneigées et la palais de Winterfell.
Mais une visite du roi - et de sa suite - à la famille Stark va bouleverser la vie de tous les protagonistes, tandis que le destin, la vengeance, et les plans finement et patiemment élaborés se mettent en marche...
Au-delà de l'intrigue, vaste - il faudra sans doute plusieurs tomes pour en venir à bout - et des personnages, complexes, on pourra aussi apprécier le découpage : chaque chapitre s'attache aux pas d'un personnage, tout en suivant la chronologie générale. Donc le temps passe tout le temps (sic), et les points de vue se suivent.
A noter : avant de découvrir les romans, j'avais joué au jeu de plateau, lourde machinerie mettant en scène les luttes entres les principaux seigneurs (Barratheon, Stark, Lannister...). Jeu de plateau lui-même tiré d'un jeu de cartes, si je ne m'abuse...
Et il semblerait qu'une série télévisée soit en préparation.
A quand le jeu vidéo...
Ainsi, quel que soit votre support favori, il vous sera difficile de passer à côté du Trône de Fer...
Champittéraire-ludi