26 mars 2008
3
26
/03
/mars
/2008
23:59
(Parce qu'il faut continuer d'avancer, malgré tout, pas pour oublier, pas pour faire semblant, mais parce que nous n'avons finalement pas vraiment le choix)
Les contes pour enfants sous acide existent, je
les ai rencontrés.
Junko MIZUNO a trempé ses pinceaux dans les livres de son enfance, la culture pop de son enfance - elle est née en 1973 - et quelques pots de peinture verdâtre ou framboise (de son enfance ?), pour donner une nouvelle lecture pour le moins originale de notre Cendrillon-pas-nationale-mais-presque (Charles PERRAULT en ayant fixé une version).
Voici donc Cinderalla, qui travaille avec son père dans un restaurant de yakitori (brochette japonaise, dans la langue de Mishima).
Drame : le père meurt.
Joie : il ressuscite, sous forme de zombie.
Drame : il se marie avec une zombie, qui a deux filles zombies.
Et la petite Cinderalla de devenir l'incontournable esclave domestique. Jusqu'au jour où elle rencontre l'amour...
Je ne vous en dis pas plus : le livre est à votre disposition chez moi, ou dans les bonnes librairies qui savent donner du Japon un autre image que Dragonball.

Le tout est bien sûr drôle, décalé, et je vous invite à découvrir la version alternative de la perte de la pantoufle.
Du grand art (zombie).
Comme quoi les grands contes ont encore un bel avenir devant eux. Pour peu que des talents comme celui de Junko MIZUNO se penchent sur eux.
L'auteure s'est aussi "attaqué" à Hansel & Gretel et La Petite Sirène.
Tout un programme...
Champi du soleil levant

Junko MIZUNO a trempé ses pinceaux dans les livres de son enfance, la culture pop de son enfance - elle est née en 1973 - et quelques pots de peinture verdâtre ou framboise (de son enfance ?), pour donner une nouvelle lecture pour le moins originale de notre Cendrillon-pas-nationale-mais-presque (Charles PERRAULT en ayant fixé une version).
Voici donc Cinderalla, qui travaille avec son père dans un restaurant de yakitori (brochette japonaise, dans la langue de Mishima).
Drame : le père meurt.
Joie : il ressuscite, sous forme de zombie.
Drame : il se marie avec une zombie, qui a deux filles zombies.
Et la petite Cinderalla de devenir l'incontournable esclave domestique. Jusqu'au jour où elle rencontre l'amour...
Je ne vous en dis pas plus : le livre est à votre disposition chez moi, ou dans les bonnes librairies qui savent donner du Japon un autre image que Dragonball.

Le tout est bien sûr drôle, décalé, et je vous invite à découvrir la version alternative de la perte de la pantoufle.
Du grand art (zombie).
Comme quoi les grands contes ont encore un bel avenir devant eux. Pour peu que des talents comme celui de Junko MIZUNO se penchent sur eux.
L'auteure s'est aussi "attaqué" à Hansel & Gretel et La Petite Sirène.
Tout un programme...
Champi du soleil levant
