15 avril 2008
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21:58
Certes, cela faisait un moment que
je n'avais pas parlé de jeu ici.
Certes aussi, le jeu ici présent n'est pas à proprement parler un "jeu de plateau", car tout peut lui faire office de plateau : une table - classique - un tapis - déjà plus acrobatique - ou tout autre support suffisamment vaste et plan pour faire office d'espace aérien.
Car il s'agit bel et bien ici d'espace aérien, pour accueillir les fous volants de Wings of War.
Première guerre mondiale. Tandis que la terre s'ouvre de sanglantes tranchées étouffant sous les assauts des obus, les airs offrent aux as de l'aviation le plus grand champ de bataille.
Wings of War vous propose de vous glisser dans la peau de ces pilotes aussi intrépides qu'inconscients.
Chaque joueur - à partir de deux, et jusqu'à ... concurrence du nombre de paquets de cartes disponibles - maîtrise donc un petit avion, matérialisé par une carte - voir exemple ci-contre.
Chaque avion est caractérisé par sa résistance - inversement proportionnelle à sa maniabilité - et une lettre associée à un paquet de cartes de déplacements.
Les déplacements disponibles combinent lignes droites, virages, piqueés, demi-tours, et autres figures de haute voltige.
Ensuite, il suffit de se lancer.
Tous les joueurs préparent un "plan de vol" constitué de trois cartes choisies dans le paquet de déplacement.
Quand tous les plans de vols sont prêts, on les dévoile, puis on résout les mouvements simultanément, en trois phases.
Entre chaque phase, on vérifie, à l'aide d'une réglette graduée, si les adversaires sont à portée de tir - à bonne distance, en respectant le "cône de tir" que l'on peut voir sur l'avant de la carte.
Si un avion est touché, il tire une ou deux cartes de dommages - le nombre de cartes dépend de la distance entre avion tireur et avion touché - et regarde secrètement les dommages encaissés par son véhicule - les cartes indiquent entre 0 et 5 points de dommages, avec si besoin des dommages optionnels comme une panne mécanique, un nuage de fumée, ou une direction faussée.
Si le nombre de points de dommage atteint ou dépasse la résistance de l'avion, celui-ci explose en mille éclats dans le beau ciel bleu...
Voilà, tout est dit.
Rien de très compliqué, ni de très long.
Juste un petit jeu de guerre rapide, facile, propice à des bruitages improvisés du meilleur effet.
Des extensions existent, pour bénéficier de nouveaux avions - les amateurs d'Histoire apprécieront - de nouvelles manoeuvres, de ballons dirigeables... Que du bonheur.
Vite, une autre partie !
Champi dans les airs.
Certes aussi, le jeu ici présent n'est pas à proprement parler un "jeu de plateau", car tout peut lui faire office de plateau : une table - classique - un tapis - déjà plus acrobatique - ou tout autre support suffisamment vaste et plan pour faire office d'espace aérien.
Car il s'agit bel et bien ici d'espace aérien, pour accueillir les fous volants de Wings of War.
Première guerre mondiale. Tandis que la terre s'ouvre de sanglantes tranchées étouffant sous les assauts des obus, les airs offrent aux as de l'aviation le plus grand champ de bataille.
Wings of War vous propose de vous glisser dans la peau de ces pilotes aussi intrépides qu'inconscients.
Chaque joueur - à partir de deux, et jusqu'à ... concurrence du nombre de paquets de cartes disponibles - maîtrise donc un petit avion, matérialisé par une carte - voir exemple ci-contre.
Chaque avion est caractérisé par sa résistance - inversement proportionnelle à sa maniabilité - et une lettre associée à un paquet de cartes de déplacements.
Les déplacements disponibles combinent lignes droites, virages, piqueés, demi-tours, et autres figures de haute voltige.
Ensuite, il suffit de se lancer.
Tous les joueurs préparent un "plan de vol" constitué de trois cartes choisies dans le paquet de déplacement.
Quand tous les plans de vols sont prêts, on les dévoile, puis on résout les mouvements simultanément, en trois phases.
Entre chaque phase, on vérifie, à l'aide d'une réglette graduée, si les adversaires sont à portée de tir - à bonne distance, en respectant le "cône de tir" que l'on peut voir sur l'avant de la carte.
Si un avion est touché, il tire une ou deux cartes de dommages - le nombre de cartes dépend de la distance entre avion tireur et avion touché - et regarde secrètement les dommages encaissés par son véhicule - les cartes indiquent entre 0 et 5 points de dommages, avec si besoin des dommages optionnels comme une panne mécanique, un nuage de fumée, ou une direction faussée.
Si le nombre de points de dommage atteint ou dépasse la résistance de l'avion, celui-ci explose en mille éclats dans le beau ciel bleu...
Voilà, tout est dit.
Rien de très compliqué, ni de très long.
Juste un petit jeu de guerre rapide, facile, propice à des bruitages improvisés du meilleur effet.
Des extensions existent, pour bénéficier de nouveaux avions - les amateurs d'Histoire apprécieront - de nouvelles manoeuvres, de ballons dirigeables... Que du bonheur.
Vite, une autre partie !
Champi dans les airs.