19 février 2007
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Edmond BAUDOIN est né à Nice en 1942.
D'abord enfermé dans le monde des chiffres sous un habit mal taillé de chef comptable, il se libère et s'envole grâce à la plume puis au pinceau de l'auteur de bande dessinée.
Ainsi, depuis les années 70, il ravit ses lecteurs - et surtout ses lectrices - par des histoires toujours touchantes, où l'humanité se teinte de la poésie qui lui fait si souvent défaut dans notre quotidien.
Faisant danser son pinceau sur le papier, BAUDOUIN fait naître en quelques traits trop fragiles pour qu'on les bouscule la magie des corps chorégraphiques et des musiques du coeur.
D'abord enfermé dans le monde des chiffres sous un habit mal taillé de chef comptable, il se libère et s'envole grâce à la plume puis au pinceau de l'auteur de bande dessinée.
Ainsi, depuis les années 70, il ravit ses lecteurs - et surtout ses lectrices - par des histoires toujours touchantes, où l'humanité se teinte de la poésie qui lui fait si souvent défaut dans notre quotidien.
Faisant danser son pinceau sur le papier, BAUDOUIN fait naître en quelques traits trop fragiles pour qu'on les bouscule la magie des corps chorégraphiques et des musiques du coeur.
«J’appelle un dessin beau quand il nous fait entendre une belle musique».
Tout est dit.
L'oeil n'est déjà plus solitaire dans son exploration des histoires que BAUDOIN nous livre. Nos oreilles discernent les sons qui se glissent entre les feuilles. De douces odeurs glissent lentement en dehors des cases. La caresse du papier sur nos mains nous emplit de frissons incontrôlables.
BAUDOUIN est maître de nos sens parce qu'il trempe son pinceau au plus profond de son coeur.
Les corps de ses personnages s'élancent.
Le silence se fait.
Sentez-vous ce battement qui provient des images.
Nous voilà pris dans la danse des traits.
Prisonniers volontaires d'un ballet qu'on souhaiterait sans fin.
Une fois le livre refermé, on ne peut s'empêcher d'apercevoir, derrière ce quotidien, notre quotidien, qu'il met si souvent en scène, ces failles par lesquelles la magie et le rêve semblent essayer d'entrer.
Si seulement on pouvait leur ouvrir la porte...
L'oeil n'est déjà plus solitaire dans son exploration des histoires que BAUDOIN nous livre. Nos oreilles discernent les sons qui se glissent entre les feuilles. De douces odeurs glissent lentement en dehors des cases. La caresse du papier sur nos mains nous emplit de frissons incontrôlables.
BAUDOUIN est maître de nos sens parce qu'il trempe son pinceau au plus profond de son coeur.
Les corps de ses personnages s'élancent.
Le silence se fait.
Sentez-vous ce battement qui provient des images.
Nous voilà pris dans la danse des traits.
Prisonniers volontaires d'un ballet qu'on souhaiterait sans fin.
Une fois le livre refermé, on ne peut s'empêcher d'apercevoir, derrière ce quotidien, notre quotidien, qu'il met si souvent en scène, ces failles par lesquelles la magie et le rêve semblent essayer d'entrer.
Si seulement on pouvait leur ouvrir la porte...
Champimaginaire