16 avril 2007
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Un calame bien taillé, quelques flacons d'encre, et voici que les mains sacrées du calligraphe font naître sur la page la beauté, là où le profane - et mes quelques maigres tentatives m'ont résolument classé dans cette catégorie... - n'obtient que des taches. Et encore, des taches moches...
Hassan MUSA mérite plus que largement le titre de Maître Calligraphe, voire de Poète Calligraphe.
La douceur et la magie qui se dégagent de ses dessins coulent sans doute du sang muses qu'il sait mêler à ses encres.
Ici, loin de la rigidité de la majuscule d'imprimerie ou de la minuscule caroline, le caractère arabe nous ouvre les portes du monde de la Belle et la Lettre.
L'essence de l'Orient glisse lentement le long du corps de la belle Schehrazade, et un abécédaire tantôt tendre, tantôt coquin, toujours très doux, s'offre à nos yeux.
La courbe de son corps fait le tour de nos yeux, et la lettre s'anime d'une vie nouvelle, nous ouvrant les portes de l'immuable monde des papiers et des encres, éternité calligraphiée qu'Hassan MUSA nous offre avec générosité.
Qu'il en soit remercié.
Champiconographique
Hassan MUSA mérite plus que largement le titre de Maître Calligraphe, voire de Poète Calligraphe.
La douceur et la magie qui se dégagent de ses dessins coulent sans doute du sang muses qu'il sait mêler à ses encres.
Ici, loin de la rigidité de la majuscule d'imprimerie ou de la minuscule caroline, le caractère arabe nous ouvre les portes du monde de la Belle et la Lettre.
L'essence de l'Orient glisse lentement le long du corps de la belle Schehrazade, et un abécédaire tantôt tendre, tantôt coquin, toujours très doux, s'offre à nos yeux.
La courbe de son corps fait le tour de nos yeux, et la lettre s'anime d'une vie nouvelle, nous ouvrant les portes de l'immuable monde des papiers et des encres, éternité calligraphiée qu'Hassan MUSA nous offre avec générosité.
Qu'il en soit remercié.
Champiconographique