25 juin 2007
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Ca faisait un moment que les zombies baveux - baptisés amoureusement "morves vivantes par Francky - et les costauds à casquettes n'avaient pas eu
droit de cité par ici.Oubli - bien temporaire - réparé.
The Goon tome 4 vient de sortir. Aussi sec, le voilà dans mon escarcelle.
Bon. Soyons franc : la petite étincelle des premiers tomes n'y est pas tout à fait. L'humour est toujours au rendez-vous, mais le zeste d'absurde et les clins d'oeil à tout bout de champ ont un peu pris le large.
Ne boudons toutefois pas notre plaisir : Eric POWELL manie toujours la cruauté gratuite - donc drôle... - avec brio. "Il y a des plaisirs dans la vie qui n'ont pas de prix. Buter un minable comme McGee bien proprement avec un bus est l'un d'entre eux."
Envoyant ses héros dans une autre dimension, POWELL nous livre aussi quelques délires d'un autre monde de toute beauté : "Il n'y aura point de poussage de bouton aujourd'hui, Duc Chamallow ! Car je suis désormais le seigneur du chaos et des hot-dogs ! J'ai occis le poulet à dents et la couronne de pantalons à damier est mienne !"
Le plus croustillant étant la relecture du Cantique de Noël, de Môssieur Charles DICKENS s'il vous plaît, avec Goon dans le rôle de l'esprit des Noëls présents, ça promet et ça déménage...
Je vous laisse découvrir par vous même l'histoire des Boucaniers Bastonneurs - l'équipe de football américain dont Goon fit partie... - et le retour des robots tueurs baptisés Bruno - aucun lien de parenté.
Champimages dans tous les sens
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