20 septembre 2009
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Ne me dites pas que vous n'avez jamais rêvé d'un si bel objet.
Une boîte douce au toucher, épaisse, dont les couleurs que d'aucuns qualifieraient de criardes alors qu'elles sont chaleureuses attirent votre regard et ne le lâchent plus.
Dès qu'on l'a ouverte comme on feuilleterait un ouvrage précieux, on tombe sous le charme : lettrages, encrages, compositions...
Tout est là, comme à la grande époque, quand les super-héros sauvaient le monde en portant haut et fort les couleurs (toujours elles) de leurs créateurs.
Physiques déformés, exagérés, aux limites de l'expressionnisme parfois.
Textes emphatiques, envahissants, interpellant les lecteurs.
Histoires à la fois simples, par leur morale, et alambiquées par des méandres scénaristiques garantissant des rebondissements à foison, même les plus improbables...
Peu de bulles ici pourtant - même si les couvertures de l'époque en étaient friandes.
Surtout un florilège : 100 cartes postales reprenant 100 couvertures de légende.
The Avengers, The Fantastic Four, Thor, The Amazing Spiderman...
Loin de leurs bien souvent fades adaptations cinématographiques, les voici riches du charme rétro de leur quadrichromie outrancière et de leurs cernes lourds.
Bien sûr la nostalgie est facile, certains la trouveraient même malsaine, mais elle s'agrémentera de ce feu d'artifice de papier qui, par petites doses, viendra fleurir un bureau parfois trop austère ou trop studieux.
Grâce à un foisonnement vital, éclatant, essoufflant.
Ne reste plus qu'à se replonger dans certains grands classiques...
Champimages qui font mal aux yeux
Une boîte douce au toucher, épaisse, dont les couleurs que d'aucuns qualifieraient de criardes alors qu'elles sont chaleureuses attirent votre regard et ne le lâchent plus.
Dès qu'on l'a ouverte comme on feuilleterait un ouvrage précieux, on tombe sous le charme : lettrages, encrages, compositions...
Tout est là, comme à la grande époque, quand les super-héros sauvaient le monde en portant haut et fort les couleurs (toujours elles) de leurs créateurs.
Physiques déformés, exagérés, aux limites de l'expressionnisme parfois.
Textes emphatiques, envahissants, interpellant les lecteurs.
Histoires à la fois simples, par leur morale, et alambiquées par des méandres scénaristiques garantissant des rebondissements à foison, même les plus improbables...
Peu de bulles ici pourtant - même si les couvertures de l'époque en étaient friandes.
Surtout un florilège : 100 cartes postales reprenant 100 couvertures de légende.
The Avengers, The Fantastic Four, Thor, The Amazing Spiderman...
Loin de leurs bien souvent fades adaptations cinématographiques, les voici riches du charme rétro de leur quadrichromie outrancière et de leurs cernes lourds.
Bien sûr la nostalgie est facile, certains la trouveraient même malsaine, mais elle s'agrémentera de ce feu d'artifice de papier qui, par petites doses, viendra fleurir un bureau parfois trop austère ou trop studieux.
Grâce à un foisonnement vital, éclatant, essoufflant.
Ne reste plus qu'à se replonger dans certains grands classiques...
Champimages qui font mal aux yeux